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Créé en 2013, le réseau Dr HOUSE-IMMO a réussi à se hisser très vite parmi les meilleurs réseaux immobiliers de France. Avec une offre de commission fixe de 85% reversée à ses agents mandataires immobiliers, Dr HOUSE-IMMO propose également un service de qualité à ses collaborateurs et à ses clients acheteurs/vendeurs. Découvrez plus en détail le réseau avec l’interview croisée accordée par deux des trois cofondateurs : Stéphane Escobossa et Nicolas Blanchin.
Nicolas Blanchin : Je suis issu d’études en architecture. Mais, même si je suis resté un peu dans ce milieu-là, j’ai préféré le côté commercial où je voulais privilégier la relation avec la clientèle. Toujours dans ce produit-là si je puis dire, à cause et grâce à l’importance que cela a aux yeux des français. La dépense liée à leur habitation est leur premier budget. C’est leur premier rêve d’être propriétaire de leur bien immobilier. Ce choix est donc venu naturellement pour moi.
Stéphane Escobossa : Je suis issu d’une formation commerciale. J’ai toujours travaillé dans le commerce. Je suis agent immobilier depuis 15 ans maintenant. Pourquoi l’immobilier ? C’est un secteur qui m’a toujours intéressé. J’ai suivi également le parcours de Nicolas Blanchin car c’est un ami d’enfance. Je le connais depuis plus de 30 ans. J’ai toujours voulu créer ma propre structure et de façon naturelle, on a créé avec Nicolas Blanchin et Léonard Lang, la structure Dr HOUSE-IMMO.
Stéphane Escobossa : Nous sommes un réseau relativement jeune. Nous sommes clairement le réseau le plus récent parmi le top 10. Souvent nos confrères ont 3, 5, 7 ans de plus que nous. Notre objectif en créant Dr HOUSE-IMMO était de créer un réseau de spécialistes en immobilier. C’est-à-dire que notre baseline Dr HOUSE-IMMO, “spécialiste en immobilier”, c’est un réseau orienté vers un recrutement de professionnels de l’immobilier. Aujourd’hui, il faut savoir que plus de 90% de nos négociateurs sont des négociateurs issus de réseaux immobiliers ou d’agences immobilières. Ce sont des personnes qui connaissent parfaitement le métier. Globalement, quand ils arrivent chez nous, ils n’ont plus qu’à s’habituer à la “couleur du logiciel”. Très rapidement, ils ont des résultats et c’est vraiment le fil conducteur de notre société : recruter avant tout des profils expérimentés.
Nicolas Blanchin : Cela nous permet aussi de faire énormément d’économies puisque nous n’avons pas besoin de plateformes de recrutement ou de formation aussi importantes que ce que nous pouvons voir dans certains réseaux. Cette économie-là, nous allons la mettre à disposition de nos conseillers avec une réversion de 85%, par exemple.
Nicolas Blanchin : Alors 85%, c’est le pourcentage que les conseillers vont toucher sur l’ensemble des ventes. Il faut savoir que la commission moyenne en France est d’environ 7 000 euros. Donc, nos conseillers vont toucher 85% de ces sommes-là, soit sur le HT, soit sur le TTC en fonction de leurs statuts. Nous avons voulu un statut élevé, unique et fixe contrairement à l’ensemble des autres réseaux où ils vont avoir un palliatif, qui va démarrer de 65% à 80%, 85%, 90%… Mais ce palliatif va redémarrer à 0 le premier de l’an. (à 3’09”) Notre analyse est venue du fait que s’ils font une très belle année, toucher 80%, 85%, 90% c’est bien et cela ne devient plus problématique. Alors que si c’est une année plutôt moyenne, entre 30 et 60 000 euros, à ce moment-là, ils sont bien contents de toucher 85%. Nous pensons que nous avons trouvé le juste milieu entre une réversion très élevée, un pack vraiment abordable à 85 euros par mois avec des outils et des services redoutables d’efficacités : des rendez-vous mandats pris par les secrétaires commerciales, un envoi de SMS automatique à l’ensemble des vendeurs de toute la France, envoyé par nos conseillers. Donc, nous pensons que 85 euros, 85% avec une assistance redoutable d’efficacité, des outils et des services hors pairs, nous avons ciblé le juste milieu entre l’économie, la rentabilité et les outils.
Nicolas Blanchin : une étude SOFRES qui a été faite par un site assez connu, un comparateur de réseaux d’agents mandataires, a révélé que nous étions le premier réseau de France en termes de satisfaction mandataire avec près de 99% de satisfaction interne. Au-delà de nos conseillers, la satisfaction de nos clients va aussi jusqu’à nos clients finaux qui sont nos acheteurs et vendeurs. La qualité d’un réseau de spécialistes immobiliers fait que nous avons une satisfaction acquéreurs-acheteurs : un bouche-à-oreille plus que positif pour notre réseau.
Nicolas Blanchin : Le secteur de l’immobilier se porte assez bien malgré les craintes que nous avons pu avoir ces derniers mois au vu de l’actualité. Néanmoins, Dr HOUSE-IMMO avec 50% de progression en termes de chiffre d’affaires a explosé les compteurs. Nous arrivons à notre 8ème année d’activité et à 800 conseillers en réseau, aujourd’hui, qui font que nous avons une marge de progression qui est chaque année au-delà des 20% à 25%. Nous n’avons pas vraiment senti de changement entre avant et après la crise. Nous avons entre 150 et 200 conseillers qui nous ont rejoints pendant cette période-là. Le réseau a fait 50% de marge. La transaction immobilière d’ordre général qui jusqu’à présent faisait environ 1 million de ventes par an, a très peu perdu de transactions. Même après la crise.
Stéphane Escobossa : Nous sommes présents en Espagne depuis quelques années. Nous comptons une cinquantaine de négociateurs immobiliers indépendants en Espagne. La majorité de nos conseillers sont en métropole, positionnés de façon assez équilibrée. Nous n’avons aucun département, aujourd’hui où nous ne trouvons pas un négociateur Dr HOUSE-IMMO. Nous sommes également présents en Guadeloupe, en Martinique, en Guyane. Nous sommes également présents à la Réunion avec une très belle équipe commerciale à la Réunion.
Stéphane Escobossa : Écoute, réactivité et adaptabilité.
Nicolas Blanchin : Empathie, rigueur et professionnalisme.
Stéphane Escobossa : Nous sommes affiliés au SNPI, le Syndicat National des Professionnels Immobilier. Nous avons pris contact avec eux pour avoir les meilleures informations et relayer ces informations auprès de nos négociateurs pour adapter notre façon de travailler, tout simplement, à la réglementation et de ce qui était important de réaliser.
Nicolas Blanchin : Dans un concept qui se veut dématérialisé comme celui des réseaux d’agents mandataires en immobilier, nous avons l’habitude d’utiliser certaines technologies qui nous permettent par exemple de dématérialiser aujourd’hui les mandats de banques à travers des sites de signature électronique à distance. Ces outils, nous les avions avant la crise, même si nous avons “appuyé” un petit peu plus dessus pendant. Nous ne nous sommes pas laissés désorientés parce que cette actualité nous a empêché de faire certaines choses. Aussi, beaucoup de visites virtuelles pour que les personnes ne se déplacent pas pour rien pour visiter le bien. Nous avons une animation qui permet aux internautes de se balader dans les biens, d’aller voir les différentes pièces, de s’arrêter sur une pièce pour zoomer sur les murs ou les revêtements. Nous avons “appuyé” un petit peu plus dessus, même si nous avions déjà ce savoir-faire là, bien avant.
Stéphane Escobossa : La relation avec Prium City se passe très bien. Nous sommes en contact depuis 1 an et demi, désormais. Nous avons évidemment travaillé avec d’autres structures en portage, mais depuis 1 an et demi, nous avons tissé des liens professionnels excellents avec Prium City. La réactivité, la disponibilité, les services apportés aux conseillers sont très bons et il est clair aujourd’hui, que nous préconisons à chaque fois Prium City à l’ensemble de nos négociateurs, à partir du moment où ils souhaitent travailler avec ce statut.
Stéphane Escobossa : Plus de 10% de nos négociateurs sont sous un statut de porté. J’ai calculé récemment que nous étions à 12 points. Très majoritairement chez Prium City. Souvent ce sont des négociateurs qui ont été indépendants, dans le sens “agent commercial” ou “micro-entrepreneur”, qui ont souvent fait 1, 2, 3 ans sous ce statut. Et, un peu lassés de tous les contacts et de tout ce que nous pouvons vivre au niveau administratif, effectivement, ils souhaitent passer en portage salarial pour avoir une tranquillité d’esprit, une sécurité qu’ils ne retrouvent pas forcément en étant 100% indépendants.
Nicolas Blanchin : Je voudrais vous remercier parce que c’est surtout grâce à vous que nous en sommes là aujourd’hui, que le réseau se porte très bien et que le bouche-à-oreille est plus que positif dans ce secteur d’activité qui est ultra concurrentiel.
Stéphane Escobossa : Je tiens à vous remercier du fond du cœur. Merci à l’ensemble de nos négociateurs. Merci de votre confiance.
2 juin 2021
Catégorie(s) : Interviews, Partenaires
Cette page a été rédigée par
Wai Perceval
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